Nous sommes en 1912. Un train rempli d’or va traverser Alfortville. Il attire la convoitise appelée la bande des “Faïences” d’après leurs liens avec la faïencerie. De nombreux ouvriers de la faïencerie Boulenger de Choisy-le-Roi habitent alors à Alfortville (une ligne de tramways relie alors Choisy-le-Roi à Paris).
Une bande de malfrats va se faire passer pour d’honnêtes ouvriers d’Alfortville (dont les céramiques ornent de nombreuses façades d’Alfortville) afin d’y préparer… le casse du siècle !
En effet, cette « bande des faïenciers » s’apprête à attaquer le train Paris-Lyon qui va traverser Alfortville et transporter dans cinq jours une tonne d’or transitant depuis la banque de France de Paris à sa succursale lyonnaise.
Mission : Vous êtes l’assistant de l’inspecteur Chelou et devez mener une enquête autour du quartier de la gare d’Alfortville pour identifier les membres de la bande et leur mystérieux commanditaire. Votre parcours est jalonné d’épreuves et de surprises.
Choisissez votre avatar :
French Cancan,
Danseuse de cabaret, toujours prête à faire la fête, elle a un faible pour l’Inspecteur Chelou qui mène l’enquête. Elle sautille tout le temps et parle avec beaucoup de raffinement. Avec une voix aigüe, elle conclut ses phrases par un « N’est-ce pas mon ami ? » à vous percer les tympans.
Gertrude Dulorgnon,
déductrice à la Sherlock, elle tient un lorgnon et son rouge à lèvres est fort voyant… Mais ne nous y trompons pas, cette myope est une surdouée. Observatrice, calculatrice, son sens de la logique est imparable.
Museau-Vinaigrette,
de son vrai nom Achille Dubide. chapeau melon, grosse tête.
Sait faire parler ses interlocuteurs autour d’un bon plat. Peu d’entre eux arrivent à le suivre jusqu’au trou normand. Ils lâchent toujours prise avant lui et titubent lourdement en quittant sa table. Il finit toujours ses phrases en rigolant très fort de ses propres blagues qui n’en sont pas toujours (hélas !).
Riton Legoupil,
Crieur de journaux, ce renard est un indic efficace pour la police.
Rapide, habile, malin, il termine toutes ses phrases par : « Aussi sec ! », ce qui, d’ailleurs, finit toujours par lui donner soif, même en cas de forte pluie (alors, en cas de crue, n’en parlons même pas !).